Et si, pour commencer, on faisait un petit tour d’horizon de l’univers de Zelda ?

Pour comprendre l’effet Zelda, il suffit de prononcer le nom de son concepteur : Shigeru Miyamoto ! Oui, c’est bien le créateur de Mario et de Donkey Kong qui a engendré ce jeu magique !

Tout a commencé par The Legend of Zelda sur NES. On y découvrait une jeune et belle princesse, un sorcier maléfique nommé Ganon, et Link, le jeune et preux chevalier au cœur d’or. A partir du scénario classique de la princesse prisonnière et du chevalier qui part la sauver, Miyamoto va nous présenter un jeu hors du commun en jouant sur deux tableaux : la richesse et la longueur.

Et, malgré la rusticité de la machine (n’oublions pas qu’elle existe depuis 1983 au Japon), The Legend of Zelda est un jeu immense. Il faut des centaines d’heure de jeu pour en faire le tour !

Le nombre de détails que l’on y trouve dans tous les endroits a de quoi vous donner le tournis. Des objets sont planqués dans tous les coins, et il faut résoudre un nombre d’astuce incroyable pour tout découvrir et arriver finalement jusqu’au bout. Ajoutez une jouabilité exceptionnelle (est-il besoin de préciser que Miyamoto est un maître en la matière), et The Legend of Zelda devient un jeu accessible même aux joueurs débutants. Le succès était donc prévisible.

A la suite de quoi, deux ou trois ans plus tard, Miyamoto a remis cela avec un deuxième épisode, nommé Zelda II : The Adventure of Link. Avec cette nouvelle quête, l’univers reste le même, mais le style du jeu a un peu évolué. Ainsi. certaines séquences n’empruntent plus la vue de dessus, habituelle dans Zelda, et s’affichent en vue de côté. Et tout laisse à croire que ce deuxième épisode marque la fin de Zelda sur la NES… Evolution technique oblige!

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